lundi 29 juin 2009

TRANSFORMERS II


C’est toute mon enfance ça.



Fascination. C'est ce que j'ai ressenti au cours du premier volet que le cinéma à dévoilé de voir combien ils avaient réussi à respecter mes souvenirs de Transformers. La légende était respectée car les bruits des transformations étaient à l'identique, les charismes des aliens et les enjeux on-ne-peut-plus sérieux que les héros devaient encourir aussi.
Le cinéma se faisait machine à voyager dans le temps.
Génial !



Hier 'ai vu le deuxième volet.
J’ai bien rit, j’ai déchanté, j’ai été dans le film, et j’ai été déçue du film…. Tout en un ! Mieux qu’un shampoing !



Les effets spéciaux sont des plus réalistes c’est à en croire l’existence réelle d’Optimus Prime , la destruction réelle d’une pyramide, l’atterrissage réel d’un Autobot sur la ville. Ils sont non seulement réalistes mais aussi et surtout très recherchés !
Si seulement les combats entre les Autobots et Decepticons étaient plus lisibles !


Malheureusement, il est nettement moins bon que le premier (comme toujours) et certains clichés desservent l’intrigue. Par exemple le héro passe un temps incalculable à courir avec la belle brune aux yeux bleus et aux lèvres aussi pulpeuses que se seins accrochée à sa main alors qu’il aurait pu la mettre à l’abri depuis un bon moment. Puis au moment de rejoindre la troupe armée américaine, non comptant de s’être embarrassé avec elle il finit par la refiler à un soldat qui a son tour doit la trainer sur plusieurs mètres. Une question subsidiaire m’est venue : « mais ne sait elle pas courir sans tenir la main de quiconque ? ».

S’il n’y avait que ça… Mais bon en dire d’avantage ce serait dévoiler toute l’intrigue.


En résumé, tout le réalisme gagné par les effets spéciaux est très largement perdu par les clichés du scénario.

Mon conseil : allez le voir si vous êtes fan des transformers, nostalgique de cette époque où tout petits nous rentrions de l’école pour voir les transformers à la télé, ou simplement si vous êtes en possession d’une carte illimitée et si vous avez besoin de vous lobotomiser la tête. Je ne m’attendais pas à du grand cinéma, mais à un certain niveau tout de même…

Bon cinoche
Shams.D

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jeudi 25 juin 2009

VERY BAD TRIP

Rien que de revoir la bande annonce je ne peux m'empêcher de rire!



Fiche signalétique:
Date de sortie : 24 Juin 2009
Réalisé par Todd Phillips
Avec Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis
Film américain.
Genre : Comédie
Durée : 1h 30min.
Année de production : 2009
Titre original : The Hangover


Histoire: Un jeune homme va se marier et pour enterrer sa vie de garçon ses deux meilleurs amis et son futur beau frère, qui donne l’impression de vivre sur une autre planète, l’emmènent à Vegas pour une dernière nuit en célibataire "inoubliable". Cependant, au réveil tout a disparu de leur mémoire et Doug reste introuvable. Son mariage est dans moins de 30h. A partir de cet instant les trois acolytes se retrouvent dans des situations insensées afin de remonter le cours de la nuit précedente pour ramener dans les temps le fiancé à sa promise.


The very bad trip est un voyage que personne n’aimerait faire.
Pourtant toute une salle l’a fait hier soir en riant sans relâche, multipliant les crises de rire, manquant de suffoquer. Moi-même les larmes sont montées m'empechant parfois de pouvoir pousuivre le film...


Mais très vite je me reprenais pour continuer l'histoire. Et très régulièrement ce traitre de John Doe, à ma gauche, partait en crise de rire synchronisée avec mon voisin de droite me ramenant sournoisement à un état de gloussements constant.

Bref! Je ne m’attendais ni à une telle euphorie ni à la présence de Mike Tyson (je n'avais pas vu la bande annonde avant le film) tenant un si petit animal tandis qu'il cherchait son tigre (vous comprendrez en y allant). Il n’ya pas une pause. Les gags s’enchainent tous les plus improbables les uns que les autres.
Parfois le bouchon est poussé très loin. Des situations indécentes sont tournées à la dérision la plus absolue et cela fait rire. Même le puritanisme de l’Amérique n’a pas empêché cela. Il a du se fendre la poire comme nous tous…


Loin des Experts de Las Vegas, les policiers en prennent pour leur matricule.




En sortant de la salle, j’avais la sensation de ne pas avoir été depuis très longtemps voir un film qui fasse s’esclaffer toute une salle pleine (en dernière séance) à l’unisson.
Il faut dire que dès le début la barre est haute. Le huit-clos entre le futur marié et le futur beau-frère annonce sournoisement la couleur. Seulement on ne le réalise vraiment qu’après.

Bref pour Rire... allez y.

Bon cinoche,
Shams.D

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jeudi 18 juin 2009

QUELLE DECEPTION!

Je ne vais pas m'attarder sur ce sujet, mais je suis allée voir dès sa sortie Blood the last Vampire.

Quelle déception!

Incroyable de ne pas avoir pu laisser au cinéma asiatique ce qui en fait sa force?! On est finalement bien loin des petits bijoux qu'ont été Tigre et Dragon ou Hero.

Les scènes de combats sont assez esthétiques en effet; très proches de celles des mangas où on ne voit pas le mouvement véritablement, mais les éclairs des lames des sabres et surtout les impacts des coups.

La bande annonce ne pouvait être que réussie car ne montrant que les combats et la rencontre avec le mal ultime qui elle aussi est assez réussie comparée à l'ensemble du film, cela reste des plus attrayants. Seulement, mis bout à bout, cela ne représente même pas une demie heure du film?!
Quant à l'allure des "méchants" il aurait mieux valu qu'ils fassent appellent au savoir faire français en matière d'effet spéciaux?! Le budget aurait dû être mieux envisagé pour mieux réussir ces personnages qui sont de sérieux pilliers du film.

Quelle déception?!

Quel dommage!

mercredi 10 juin 2009

Last Vampire BLOOD - Sortie le 17 juin


En 2000, Hiroyuki Kitabuko sort le film d'animation qu'il a réalisé avec la participation de Youki Kudoh, Saemi Nakamura, Joe Romersa.



L'histoire se déroule dans un Japon affectée par la guerre du Vietnam (1966) à la période de Halloween. Des militaires américains se sont positionés sur la base de Yokota pour être des plus réactifs aux attaques... humaines.
Cependant, un danger bien différent plane sur la ville. Des démons, des vampires aussi laids que dangereux. Les services secrets américains en sont informés. Leur armes face eux, une jeune fille, une collégienne en uniforme, au visage fin, quasi angelique, montre sa force pour protéger des inconnus.


Ce court métrage de 48 minutes semble être un avant goût de ce que peut être le film qui nous attend le 17 juin prochain. Une introduction à un univers bien moins tendre que tous les films du type Twilight qui traitent du même sujet.







Voici un aperçu de ce petit bijou de l'animation japonaise. Très efficace dans son genre.

Le 17 juin 2009, Chris Nahon nous fera découvrir sa vision de l'histoire et sa perception de la tension qui règne dans le manga.

Faire un manga avec une caméra, le pari n'est pas des moindres pour Gianna Jun , Allison Miller, Liam Cunningham, les acteurs qui l'ont relevé.

Cependant, le producteur de Tigre et Dragon et de Hero a déjà montré qu'il miser sur les bonnes personnes pour ce genre de performance. Ca tombe bien, il produit aussi Blood - The laste Vampire.



Et pour ceux qui restent impatients et ne peuvent attendre le 17 juin, qui sont curieux de connaître l'histoire originale, ou simplement qui sont fanes de manga et qui ont 48 minutes devant eux, je vous invite au plaisir de voir ou revoir le manga.



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Bon Cinoche...
Shams.

mardi 9 juin 2009

Fait divers - David Carradine à 72 ans nous quitte



Je viens d'apprendre une terrible nouvelle:

Mais je préfère vous laisser la lire directement par ma source en cliquant sur le logo ou en lisant ci-dessous:



Carradine : police sur la corde raide

Fitness. La famille de l’acteur voudrait que le FBI mène sa propre enquête à Bangkok.

Par GILLES RENAULT

La famille de l’acteur américain David Carradine, retrouvé mort par une femme de ménage, jeudi, à 72 ans, dans sa chambre d’hôtel à Bangkok, a demandé une enquête du FBI pour tenter d’éclaircir les faits.«Ils examinent les détails de l’affaire et essaient d’aller au fond de cette histoire», a déclaré vendredi soir sur CNN l’avocat de Keith Carradine, le demi-frère de l’acteur. Selon la police thaïlandaise, le comédien est peut-être décédé à la suite d’un acte sexuel qui a mal tourné. La description est en tout cas assez pittoresque : «Une corde était attachée autour de son cou, une autre à son organe sexuel, et les deux étaient reliées ensemble et pendues à la penderie», a indiqué vendredi le général Worapong Siewpreecha, de la police de Bangkok. «Dans ces circonstances, nous ne pouvons pas être sûrs qu’il s’est suicidé, il a pu mourir [d’un accident] de masturbation», a-t-il affirmé.

Hier, contrariée par la démarche américaine, la police locale a contre-attaqué : «Notre travail va dans le bon sens. Les représentants de l’ambassade ont suivi chaque étape de l’enquête dans la chambre d’hôtel», a précisé le colonel qui suit l’affaire. Selon lui, si le FBI souhaite s’immiscer, il devra contacter le procureur général, qui décidera de transmettre ou non la requête à la police. «Nous pouvons travailler avec le FBI s’ils le demandent et si la demande est acceptée. Mais s’ils ne viennent pas, nous pouvons faire notre travail.»

On ignore si cet élément doit être versé au dossier, mais il faut rappeler que Carradine était très souple, puisqu’il s’était fait connaître en tenant le rôle vedette de la série Kung Fu, au début des années 70. Sa carrière sinueuse avait connu un regain de forme grâce à Tarantino, qui lui avait confié le personnage de Bill dansKill Bill (2003). Pour le reste, la filmographie de Carradine est proprement déconcertante : on y trouve aussi bien Je te tiens, tu me tiens par la barbichette (de Jean Yanne) que l’Œuf du serpent de Bergman. Il était à Bangkok pour le tournage de Stretch, film français de Charles de Meaux.

Pour un article plus complet, le Figaro.fr a bien travaillé aussi

CactusPowder

lundi 8 juin 2009

The women sortie le 03-06-09



Une performance plutôt qu’un film. Il n’y a à aucun moment un homme, ni un petit garçon, ni un coursier, un assistant, un plombier, un facteur, un vitrier en arrière plan. Aucun figurant masculin. Rien qui pourrait ressembler de près ou de loin à un homme. Un film sur les femmes où aucun homme n’apparait jamais.



On en parle mais jamais on en voit l’ombre. Même les mères sont celles de petites filles. D'ailleurs, un des personnage est une mère en série de petites filles sur qui repose le fil rouge de cette performance : « je veux faire des enfants jusqu’à ce que j’arrive à avoir un petit garçon ». Finira-t-il par arriver ce petit garçon ?



Quoi qu’il en soit, cela relève plus d’un documentaire sur fond de Sex in the City qui met en scène une femme (Meg Ryan dont le look se rapproche un peu trop pour passer inaperçu de celui de Sarah Jessica Parker incarnant Carrie Bradshaw) et dont la vie la met face à ses choix, ses sacrifices, ses lâchetés. Oui une femme sait être lâche.

Elle doit affronter la trahison. Celle de son mari.



Celle de sa meilleure amie.



Elle va devoir assumer ses responsabilités. Celle d’être une femme entièrement sans oublier d’être une mère



Bref, on y découvre ou revoit la femme dans tous ses états : épouse, meilleure amie, lesbienne, business woman, hystérique, anorexique, mère, pondeuse, grand-mère, maîtresse, trop absente, trop présente, serial lover, castratrice, indulgente, conseillère, revancharde, racoleuse, bavarde, manipulatrice, accro aux ragots, complice, solidaire, aimante.



C’est un film qui traite d’un sujet délicat avec toute la légèreté d’une comédie américaine.
Je le conseille en cure pour quiconque est allé voir Anti Christ. Je ne pense pas avoir suffisamment de force pour parler un jour de ce film.

Pour vous mettre l'eau à la bouche...



Bon cinoche !

Shams