jeudi 30 septembre 2010

THE RUNAWAYS le film

Have you ever dreamed of being a rock star?

Ca y est, je suis enfin revenu de mon périple! En sortant de l’aéroport je n’avais pas envie de rentrer chez moi ; personne ne m’y attendait. Alors, j’ai décidé de me faire une toile. Etonnant hein ?!

Il était 20h quand je suis arrivé devant les machines à tickets du cinéma. Pas grand-chose ne m’inspirait dans les minutes qui suivaient…

« The Runaways »… Jamais entendu parler de ça moi ! Bon ça avait l’avantage de commencer tout de suite.

Aller zou !

Imaginez ma surprise quand j’ai découvert notre chère Bella de Twilight dans un rôle autrement plus cru ! Je ne suis pas certain qu’Edward ou Jacob ait été fan de Joan Jett ! Jeune hétéro attirée par les filles, rebelle et rockeuse dans les tripes !

Joan Jett monte le premier Grils Band de Rock n’ Roll des années 70 et ça en jette !

Je pensais vraiment m’ennuyer dans la salle et c’était, je pense, assez funky (pas le bon terme pour le coup) de me voir évoluer dans ma chaise de la position de « ça va être nian nian » à « woah ! ça tue ! je suis en train de voir l’histoire vraie du premier grils band rock authentique etc… »

David Bowie en idole, enfin un point commun avec Bella !

Bon, comme d’habitude on sent bien le message disant que c’est bien de vouloir être une rock star, mais sans la drogue c’est mieux…

Mouais n’empêche qu’à l’époque (comme maintenant parfois) les anonymes se shootaient tout autant que les célébrités.

Ce film est une mini claque pour tous ceux qui s’imaginent tout savoir du rock féminin ! Ouais tu maitrise, Kiss, the Who, the Doors… mais que sais tu des Runaways ?!


En tous les cas, en sortant de la salle, attention je me sentais des airs intenses ! « Où est passée ma guitare ?! » Le regard ténébreux, la démarche de félins, la bouche tordue façon rebelle pour boire ma mini bouteille de Badoie… Avec mon imper de Colombo, je devais vraiment avoir un air de vieux pervers surtout !

En somme, bonne surprise à la clef. Et si tu souhaite en savoir plus sur les Runaways, je te conseille de cliquer là !


Shams D




lundi 27 septembre 2010

MANGE AIME PRIE

Synopsis (Allo ciné): Après un divorce difficile, Liz Gilbert décide de prendre une année sabbatique et de changer de vie. Elle entame alors un périple initiatique qui va l’emmener au bout du monde et d’elle-même. Lors d’un voyage aussi exotique que merveilleux, elle retrouve l’appétit de vivre et le plaisir de manger en Italie, le pouvoir de la prière et de l’esprit en Inde, et de façon tout à fait inattendue, elle trouvera la paix intérieure et l’amour à Bali.


Tu as déjà eu la sensation très forte de vouloir prendre un film dans tes bras et de le serrer encore plus fort contre ton coeur, car tu le chéris et tu veux le remercie du bien qu'il te fait?
Moi oui en regardant ce film qui pourtant pourrait ne pas toucher les gens par son côté easy going...
C'est qu'il n'y a pas d'intrigue avec une tension nerveuse forte ni avec un mystère limite compréhensible tels que Inception a pu véhiculer l'été dernier ou tel que Wall Street promet d'être...
Wall Street : l'argent ne dort jamais

Eat Pray Love! en français dans le texte Mange Aime Prie, est un mini bijou pour mes yeux...


Vraiment ce film m'a fait respirer pendant tout son déroulement.
Dès qu'il s'es achevé d'ailleurs, je me suis sentie retourner vers cette ville poulluant mon air et mon esprit...
J'ai eu mon côté girly et douillet qui en a prie plein les bronches et tu sais quoi?! J'ai aimé ça!
Moi Girly?! bah oui comme quoi ça peut arriver même aux meilleur(e)s d'entre nous.
Le fait est que c'est d'ailleurs arrivé... c'est une histoire vraie, mon ami(e), qui a largement été relatée dans le livre ci-dessous (tiens une lecture m'attend...):


Je n'en dirais pas plus, pas la peine. Car si ce film est une bouffée d'air frais, parce qu'il est simple etc... c'est aussi cette simplicité qui met en danger l'intrigue si on en parle trop... on peut vite tout dévoiler...
En résumer, si tu veux faire un breack entre deux montées d'adrénalines et de prises de tête sur des explications à dormir dehors, je ne peux que te conseiller de prendre un billet de cinéma pour ce film, ça coûte moins cher qu'Air France et tu pourras au moins sortir affamé avec un mini jetlag!
Mesdames et Messieurs, nous vous remercions d'avoir choisi la compagnie CactusPowderMag. Nous vous prions de bien vouloir dégrafer vos ceintures, de laisser tous vos apriori, de garder bien grand vos yeux et votre esprit, nous nous préparons au décolage.
Nous espérons que vous pourrez profiter de la vue depuis votre large fenêtre et que vous passerez un agréable voyage.

Myo




PS: bon frangin ce serait top que tu ne refiles pas ton job aux autres pour ne rien branler! raboule vite Shams!

jeudi 23 septembre 2010

THE TOWN

Je voulais aller voir « Ces amours là » mais ça ne plaisait pas à mon chéri qui préférait « The Town »

Par principe, ça m‘énerve les films de braquage, avec de la drogue et des flingues partout ! Je ne sais pas si vous avez remarqué mais il doit bien y avoir 20% des films qui traitent de ce sujet alors que ce n’est quand même pas un mode de vie très répandu !

Bon, d’accord, ça peut être intéressant... et puis c’est rare que ce soit mon chéri qui choisisse...

Allez, séance de 21h40, il est 20h30, on descend à la brasserie « Le Tarmac » (qui fait un menu Week End à 25€ avec entrée, plat, dessert, et vin, le tout avec un décor moderne). On arrive pile poil à 21h55 (et oui, il faut compter 15 min de pub), on s’installe, et le film commence...

Première scène : le braquage d’une banque. Les types débarquent avec leur masque « tête de mort » et demandent à la directrice de la banque de faire le code du coffre. Tout est bien rodé, ils remplissent les sacs très vite mais l’alarme a déjà été enclenchée, alors ils partent en catastrophe et prennent la directrice en otage (au cas où...) et finalement, la relâchent un peu plus loin.

Et là, je me dis que je n’aurais pas dû accepter de voir ce film parcequ’à peine installés, mon chéri commençait à devenir nerveux à cause d’un type à gauche qui bouffait ses pop corn. Bon, j’ai essayé de le raisonner : il va bientôt finir, il a bien le droit de manger, il ne fait pas exprès de faire du bruit... Mais ça n’a pas suffit. Mon chéri s’est levé, énervé, et s’est barré. Le temps d’une seconde je me suis demandé si je devais le suivre mais, entre temps, l’intrigue était lancée.

Et oui, notre héros (un des cambrioleurs) est chargé par le gang de surveiller la directrice de la banque (qui est canon, au passage) pour qu’elle ne parle pas au FBI. Alors qu’il la file dans un Lavomatic, c’est elle qui lui adresse la parole. Elle lui demande des pièces pour le sèche-linge. Et lui, l’invite à boire un verre (normal !).

Une histoire d’amour commence alors et c’est ce qui sauve le film : il y a confrontation entre deux milieux : la bad boy né à Charlestown et la jeune femme innocente qui a été traumatisée par ce braquage. Bien sûr, il se garde bien de lui avouer qu’il faisait partie des braqueurs. Mais son amour est véritable et il décide de tout plaquer pour partir avec elle.

En attendant, le bouffeur de pop corn est vraiment un gros con qui se prend pour le roi du ciné. Le bon côté des choses, c’est que grâce au film, j’ai pu faire abstraction de ce type.

Alors si vous en avez pas trop marre des films de braquages, allez voir « The Town », et choisissez bien vos voisins.

Julie


lundi 20 septembre 2010

Quand un Cactus fait son cinoche

Mon cher lecteur...
Ne m'en veux pas...
Les filmes en ce moment se succèdent mais ne me chamboulent pas...
Alors j'ai décidé de laisser Cactus faire son cinoche...
Enjoy...




Shams D