J’aurais voulu vous parler du Discours d’un Roi. Un discours toujours à l’affiche et que je vais surement aller revoir… Un discours bluffant et percutant. Jamais discours n’aura eu autant d’impact aux yeux et aux oreilles de tous ! Un jeu d’acteur incroyable et une découverte ; celle de d’un acteur longtemps connu pour ses seconds rôles de très grandes qualités, mais des seconds rôles tout de même, Collin Firth rayonne en première catégorie, il était temps ! Mais en parlant de second rôle, Geoffrey Rush est inoubliable – si j’avais dû avoir recours à un orthophoniste, j’aurais aimé que ce soit lui (d’ailleurs, si j’étais gravement malade, j’aimerais qu’un docteur House existe pour l’engager !). Et notre chère Helena Bonham, depuis la reine de cœur, la royauté lui colle à la peau ! Et enfin elle montre qu’elle sait avoir du cœur !
Eh oui j’aurais voulu vous parler de ce petit bijou de Discours qui m’a fait sentir l’espace d’un instant l’âme British ! Un instant que j’aurais aimé sans fin… non que je sois pro Britannique, mais bien que ce film m’a emporté bien loin de la salle noire. D’ordinaire, au mieux, je ne vois pas le temps passer. Cette fois, en pleine séance, je me suis surpris à espérer que ce film ne se termine surtout pas.
J’aurais voulu vous parler du Cygne Noir qui maintient bien fraîche cette angoisse oppressante et qui guide au-delà des frontières de la folie. Celle qui nous montre plus petit qu’on ne l’est. Celle qui nous aliène radicalement car son association à la terreur est redoutable ! Oui, à ce stade, on ne parle déjà plus de peur ni de crainte mais bien de terreur.
Tout devient démesuré ! Cette histoire du Cygne Noir vécue par la danseuse étoile autant sur scène que dans son quotidien, avec cette ascension de douleur identique à celle de l’histoire du ballet, nous fait devenir à notre tour double-spectateur ! Nous ne savons plus très bien, nous non plus, en quelle est notre spectato-identité : sommes-nous spectateurs du ballet ? Ou bien, sommes-nous spectateurs du film ? Assumer les deux donnerait une existante réelle à la danseuse, et donc à ses psychoses…N’est-ce pas un peu lourd pour nos si petites épaules ?!
J’aurais vraiment voulu vous parler de ces films.
Mais j’ai décidé de ne pas vous parler d’un film sans conséquence aucune ! C’est un film qui laisse indifférent au point où quand je suis sorti de la salle de cinéma, je n’ai pas eu la sensation d’avoir assisté à une projection quelle qu’elle soit ! J’étais prêt à retourner en salle pour visionner n’importe quel autre film pourvu que je le sente passer celui-là ! Même si cela impliquait d’en revoir… tiens pourquoi pas le Discours d’un Roi !
Mais l’heure, elle, ne s’était pas figée ce qui impliquait quelque part que j’avais perdu mon temps ! Il était donc temps pour moi de rentrer. Et ce film insignifiant (pas même par sa bande son !) ce n’est autre que… tiens on va jouer un peu, remettez donc les lettres dans le bon ordre pour retrouver le nom de ce film : Ralwo Gnihc…
J'attends vos réponses en commentaires...
A très vite!Shams. D
Eh oui j’aurais voulu vous parler de ce petit bijou de Discours qui m’a fait sentir l’espace d’un instant l’âme British ! Un instant que j’aurais aimé sans fin… non que je sois pro Britannique, mais bien que ce film m’a emporté bien loin de la salle noire. D’ordinaire, au mieux, je ne vois pas le temps passer. Cette fois, en pleine séance, je me suis surpris à espérer que ce film ne se termine surtout pas.
J’aurais voulu vous parler du Cygne Noir qui maintient bien fraîche cette angoisse oppressante et qui guide au-delà des frontières de la folie. Celle qui nous montre plus petit qu’on ne l’est. Celle qui nous aliène radicalement car son association à la terreur est redoutable ! Oui, à ce stade, on ne parle déjà plus de peur ni de crainte mais bien de terreur.
Tout devient démesuré ! Cette histoire du Cygne Noir vécue par la danseuse étoile autant sur scène que dans son quotidien, avec cette ascension de douleur identique à celle de l’histoire du ballet, nous fait devenir à notre tour double-spectateur ! Nous ne savons plus très bien, nous non plus, en quelle est notre spectato-identité : sommes-nous spectateurs du ballet ? Ou bien, sommes-nous spectateurs du film ? Assumer les deux donnerait une existante réelle à la danseuse, et donc à ses psychoses…N’est-ce pas un peu lourd pour nos si petites épaules ?!
J’aurais vraiment voulu vous parler de ces films.
Mais j’ai décidé de ne pas vous parler d’un film sans conséquence aucune ! C’est un film qui laisse indifférent au point où quand je suis sorti de la salle de cinéma, je n’ai pas eu la sensation d’avoir assisté à une projection quelle qu’elle soit ! J’étais prêt à retourner en salle pour visionner n’importe quel autre film pourvu que je le sente passer celui-là ! Même si cela impliquait d’en revoir… tiens pourquoi pas le Discours d’un Roi !
Mais l’heure, elle, ne s’était pas figée ce qui impliquait quelque part que j’avais perdu mon temps ! Il était donc temps pour moi de rentrer. Et ce film insignifiant (pas même par sa bande son !) ce n’est autre que… tiens on va jouer un peu, remettez donc les lettres dans le bon ordre pour retrouver le nom de ce film : Ralwo Gnihc…
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A très vite!Shams. D